Saycet au Café de la Danse
On se pose toujours la question de savoir si, quand on revoit un groupe dont on a déjà assisté à un concert, il convient de vous en reparler...
Lorsqu'il s'agit d'une formation aussi enthousiasmante et singulière que Saycet, on dit "oui", quitte à vous donner l'impression d'enfoncer le clou...
Voir Saycet en live, c'est toujours vivre une expérience multi-sensorielle, où la vue et l'ouïe sont captivées, capturées.
C'est une invitation à ouvrir nos imaginaires, à pénétrer un univers où le réel s'efface, à accepter une suspension de nos préoccupations matérielles.
Regardez les gens dans le public... Certains abaissent les paupières, le sourire aux lèvres, dans une sorte de méditation, d'autres écarquillent les yeux, fascinés, happés...
Tous sont dans un état de contemplation.
Saycet, c'est un projet à part: le fruit du travail du compositeur Pierre Lefeuvre qui a l'art de créer des ambiances électroniques atmosphériques auxquelles s'adjoint la voix aérienne et délicate comme un souffle de Phoene Somsavath.
Sur scène, l'effet magnétique suscité cette association magique des machines et de la voix se renforce par la grâce des projections de la Vjette Zita Cochet sur des supports multiples, papier de riz, lanterne japonaise...
Si le son est souvent doux, onirique et apaisant, ouaté et songeur, il sait, toujours avec autant de profondeur, gagner en énergie et en puissance par des assauts électroniques syncopés et palpitants.
Aussi bien en marge de l'expérimentale poseuse et ennuyeuse que des classiques électronica-pop, Saycet réussit le tour de force de mettre les machines au coeur du dispositif et de produire en même temps des morceaux qui ne sont jamais froids, ni lassants, mais qui, au contraire, et malgré leur originalité, ont quelque chose de familier et d' accueillant parce qu'en prise directe avec nos émotions les plus intimes.
En mêlant calme et tempête, sérénité et tourments, Saycet nous emmène loin, dans un voyage dans notre insconscient...
Lorsqu'il s'agit d'une formation aussi enthousiasmante et singulière que Saycet, on dit "oui", quitte à vous donner l'impression d'enfoncer le clou...
Voir Saycet en live, c'est toujours vivre une expérience multi-sensorielle, où la vue et l'ouïe sont captivées, capturées.
C'est une invitation à ouvrir nos imaginaires, à pénétrer un univers où le réel s'efface, à accepter une suspension de nos préoccupations matérielles.
Regardez les gens dans le public... Certains abaissent les paupières, le sourire aux lèvres, dans une sorte de méditation, d'autres écarquillent les yeux, fascinés, happés...
Tous sont dans un état de contemplation.
Saycet, c'est un projet à part: le fruit du travail du compositeur Pierre Lefeuvre qui a l'art de créer des ambiances électroniques atmosphériques auxquelles s'adjoint la voix aérienne et délicate comme un souffle de Phoene Somsavath.
Sur scène, l'effet magnétique suscité cette association magique des machines et de la voix se renforce par la grâce des projections de la Vjette Zita Cochet sur des supports multiples, papier de riz, lanterne japonaise...
Si le son est souvent doux, onirique et apaisant, ouaté et songeur, il sait, toujours avec autant de profondeur, gagner en énergie et en puissance par des assauts électroniques syncopés et palpitants.
Aussi bien en marge de l'expérimentale poseuse et ennuyeuse que des classiques électronica-pop, Saycet réussit le tour de force de mettre les machines au coeur du dispositif et de produire en même temps des morceaux qui ne sont jamais froids, ni lassants, mais qui, au contraire, et malgré leur originalité, ont quelque chose de familier et d' accueillant parce qu'en prise directe avec nos émotions les plus intimes.
En mêlant calme et tempête, sérénité et tourments, Saycet nous emmène loin, dans un voyage dans notre insconscient...